Nice Ville : une gare réaménagée pour fluidifier les circulations sur la Côte d'Azur

Etape en cours

En étude

Opération de la phase 2 du projet

Bénéfices de l'opération

Une meilleure gestion des flux de trains

Plus de régularité

Dans le cadre du projet Ligne Nouvelle Provence Côte d’Azur (LNPCA), la gare de Nice Ville va être repensée pour accompagner l’augmentation du trafic ferroviaire prévue à l’horizon 2032. Objectif : fluidifier les circulations, améliorer la régularité des trains, renforcer l’offre de transport du quotidien et accueillir davantage de voyageurs dans de meilleures conditions.

Pourquoi réaménager la gare de Nice Ville ?

Entre Cannes et Nice, la coexistence de trains rapides (TGV, Intercités, TER Intervilles) et de TER omnibus limitent les possibilités d’augmentation de l’offre ferroviaire. Les plus rapides rattrapent les plus lents, réduisant le nombre de trains pouvant circuler et provoquant une baisse de la régularité en cas d’aléas. Pour éviter ce phénomène, il faut des gares capables d’autoriser les dépassements et d’accueillir suffisamment de trains à quai simultanément. 

Les aménagements prévus à Nice Ville

Pour répondre à ces enjeux, des réaménagements sont prévus à Nice Ville : une réorganisation des voies, une gestion optimisée des TGV au terminus et une meilleure accessibilité pour tous les voyageurs.

Pour rendre la gare plus performante, plusieurs travaux structurants sont prévus : 

  • Création d’une nouvelle voie à quai (voie I) de 220 mètres, dédiée au terminus de la ligne Nice - Breil-sur-Roya.
  • Construction d’un nouveau quai de 220 mètres de long, entre les voies H et I pour faciliter les montées et descentes.
  • Prolongement de la passerelle piétonne existante pour accéder au nouveau quai avec l’ajout d’un ascenseur, d’un escalator et d’un escalier pour garantir une accessibilité optimale à tous les voyageurs.

Une gare aménagée pour les mobilités de demain

Ces aménagements permettront à la gare de Nice Ville :

  • De mieux gérer les flux de trains voyageurs
  • D’augmenter sa fréquentation : 13 millions de voyageurs par an à la mise en service du projet contre 11,2 millions en 2019.
  • D’offrir une meilleure régularité, même en période de forte affluence ou d’incident technique grâce à un réseau plus robuste